En complément du guide nature en station de traitement des eaux usées :
Faites aussi entrer la nature chez vous, dans votre jardin en construisant nichoirs et hôtels à insectes à l’aide des fiches suivantes :
En complément du guide nature en station de traitement des eaux usées :
Faites aussi entrer la nature chez vous, dans votre jardin en construisant nichoirs et hôtels à insectes à l’aide des fiches suivantes :
Le réseau écologique, appelé aussi trame verte et bleue, est un concept issu de l’écologie du paysage. En équilibre dynamique et déclinable à plusieurs échelles (des grandes migrations mondiales d’oiseaux au déplacement d’insectes dans un pré), ce réseau permet aux espèces de réaliser tout ou partie de leur cycle de vie et de se déplacer pour se nourrir, se reproduire ou prendre en compte le réchauffement climatique. Il est composé d’écosystèmes de différentes natures qui peuvent jouer le rôle de réservoirs de biodiversité et/ou de corridors écologiques suivant les espèces.
Schéma trame verte et bleue
La Métropole de Lyon est compétente en matière d’actions de valorisation du patrimoine naturel et paysager. Plusieurs dispositifs de la Métropole de Lyon, menés très souvent dans le cadre de partenariat avec les communes, le monde associatif…, contribuent à la gestion et à la préservation d’un réseau écologique fonctionnel.
À celui qui prend le temps de regarder, le territoire métropolitain accueille une multitude d’espèces animales et végétales sauvages, aussi bien en centre-ville que sur des espaces remarquables comme le parc de Miribel-Jonage, classé zone Natura 2000. Ordinaires ou exceptionnelles, la faune et la flore locales sont à découvrir – et à préserver – en cheminant sur les sentiers balisés de la Métropole. Et pour vous accompagner dans vos observations et enrichir vos connaissances, nous mettons à votre disposition un ensemble de guides permettant de mieux connaître notre biodiversité. Vous les trouverez ici.
Quinze sites naturels, répartis sur l’ensemble du territoire métropolitain, accueillent le public grâce à leur réseau de sentiers entretenus et balisés, à des animations permettant de découvrir leur nature et à des actions favorisant la biodiversité (création de mares, de haies…). Les parcs de Lacroix-Laval et de Parilly, propriétés de la Métropole de Lyon, sont également des espaces gérés pour être ouverts au public. A ces sites, il convient d’ajouter le champ captant de Crépieux-Charmy qui fournit en eau potable une très grande partie des habitants de la métropole. Cette vocation principale fait que le site est fermé au public pour des raisons de sécurité.
Ces sites ont été « labellisés » pour leur forte valeur patrimoniale (paysage, faune et flore) dans le cadre des dispositifs Projets nature et/ou Espaces naturels sensibles, respectivement portés depuis le début des années 1990 par la Communauté urbaine de Lyon et le Département du Rhône. Depuis le 1er janvier 2015, la Métropole de Lyon est seule compétente pour ces deux politiques aux sites et objectifs partagés qui sont les suivants :
La préservation et la mise en valeur d’un site est établie, en fonction de ses caractéristiques (faune, flore, habitats naturels, paysages, usages) et de ses enjeux (dégradation nécessitant restauration, besoin d’entretien, mesures de préservation), par un plan de gestion. Il est décliné annuellement par un programme d’actions, défini de manière partenariale.
Les actions qui en découlent, sont réalisées par des syndicats mixtes sur trois sites dont la Métropole de Lyon est membre, en délégation de gestion auprès des communes sur dix autres sites. Ces dernières bénéficient du soutien technique et financier de la Métropole de Lyon. Les parcs de Parilly et de Lacroix-Laval sont gérés directement par les services de la Métropole de Lyon.
L’ouverture au public des sites a connu un développement important depuis le début des années 1990. De nombreux aménagements et outils de découverte et de connaissances des sites sont aujourd’hui proposés : chemin balisé, cartoguides, sentiers d’interprétation, livrets pédagogiques, animations pédagogiques.
La mise en valeur des sites répond à la volonté d’offrir des lieux privilégiés de « rencontre » du public avec la nature sans mettre en péril le fragile équilibre des écosystèmes.
Les quinze sites gérés :